Fonds de roulement : des actifs à la rescousse du cash

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Dans un contexte de liquidités plus restreintes, les entreprises optimisent leur trésorerie en valorisant davantage leurs stocks. Des solutions de financement comme le portage de stock permettent de libérer des liquidités en capitalisant sur les marchandises détenues, tandis que des acteurs comme Atlantiq aident les entreprises à mieux gérer la rotation des stocks pour alléger la pression financière. Cette approche de financement des stocks devient un levier stratégique face aux incertitudes économiques et aux risques de rupture d’approvisionnement.

Atlantiq propose sa solution de portage de stock et partage son expérience sur l’optimisation de votre fonds de roulement dans un article de l’AGEFI :

L’attention à la liquidité des entreprises franchit un palier supplémentaire. Même si les taux recommencent à baisser depuis le début de l’année, l’abondance de la liquidité n’est plus d’actualité. Les trésoriers en viennent à occuper un rôle stratégique dans l’entreprise,certains se retrouvant directement rattachés à la direction générale, comme à la SNCF où la volonté est de diffuser la culture du cash dans tout le groupe. La multiplication des fraudes ne peut qu’ajouter à cette focalisation. Partout, la traque à la liquidité immobilisée par les opérations courantes reprend de la vigueur.

« Les entreprises ont de plus en plus de mal à collecter l’argent de leurs ventes, ce qui a un effet domino sur le crédit fournisseur», constate Sandra Boissonnade,directrice générale déléguée d’Atlantiq, spécialiste en gestion de stock.

En considération d’un contexte assombri et en prévision de la mise en place des dernières mesures de Bâle 3, prévue pour 2025, où l’Autorité bancaire européenne (EBA) a annoncé une augmentation des pondérations des actifs par les risques. Le crédit bancaire sera moins abondant et les financiers d’entreprise s’activent pour faire jouer les leviers du fonds de roulement pour obtenir plus de financement alternatif. L’affacturage reste le moyen privilégié de réduire les besoins de liquidité liés aux créances clients.
En France, où pas moins de 32.000 entreprises y ont recours, il représente le premier concours court terme devant le découvert. Si les prêts garantis par l’Etat (PGE) ont fait baisser ce marché lors de la crise Covid, son caractère acyclique le fait déjà repartir, après une baisse surprise fin 2023 et début 2024. Encore cette décélération est-elle à relativiser après une croissance vive en 2022 et n’est-elle pas ressentie par tous les acteurs.

Retrouver l’intégralité de l’article AGEFI.

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